PARUTIONS DU  DEUXIEME TRIMESTRE  2012

 

 

 

 

 «Chemins enchevêtrés» 

  Poèmes de Costas Evangelatos

    Dessins: Costas EVANGELATOS

    Editions  "SYLLOGES"     84 pages

 

 

 

Cinquante sept poèmes du créateur visuel, de l’écrivain, de l’historien de l’art, Costas EVANGELATOS  ont été publiés, en français et sous le titre «Chemins enchevêtrés».par la maison d’éditions «Collections» d’Argyris VOURNAS. Il s’agit  de poèmes à l’écriture représentative d’EVANGELATOS de 1973 à 2001. Ils témoignent des liens du créateur avec la culture française, tant par les expositions réussies de ses peintures à Paris que dans d’autres villes. Les sections représentées dans la publication sont les suivantes: Poèmes 1973-1975, Poèmes1976-1978, Poèmes1980-1984, Poèmes 1994-1996, Poèmes 1996-2001.

 

 

 

 

  

 

« Symphonie du printemps »   Edition bilingue                             

     Poèmes de Yannis RITSOS 

     Traduit du grec par Anne Personnaz

     Collection : En résistance      Diffusion : harmonia mundi  144 pages   14,50 euros      

 

 

 

 

Le mot de l’éditeur  :

 

« Je suis le ciel étoilé des moissons ». Le poète qui écrit cela semble pourtant l’avoir perdue, sa bonne étoile. Voyez plutôt : Yannis Ritsos naît en Grèce dans une famille de nobles propriétaires terriens, mais sa jeunesse est marquée par la ruine économique, des drames familiaux et la maladie. Proche du parti communiste grec, il aspire à un idéal de fraternité mais la dictature dévaste son pays. C’est dans ce contexte désespéré que le poète écrit une de ses plus belles œuvres, jusqu’alors inédite en français : Symphonie du printemps. Un hymne à l’amour, à la nature, à la vie. A mes yeux, un antidote à la crise. Dans la situation douloureuse que connaît la Grèce, le lyrisme explosif de Yannis Ritsos est une tentative de libération par l’imaginaire. Le poète danse à deux pas de l’abîme, les bras tendus vers les étoiles.

 

 

Extrait  :

 

Mes chers semblables,

Comment pouvez-vous

vous courber encore ?

Comment pouvez-vous

ne pas sourire ?

Ouvrez les fenêtres.

Le monde resplendit

Infatigable.

Qu’il soit regardé.